Au bout du jour qui s’éternise
Un sanctuaire m’attend, m’attise ;
Comme un radeau qui me retrouve,
Les ailes de mon ange me couvent…
Larges et dures
Comme une armure
Vides et pleines
Elles m’enchaînent
Elles sont tes yeux dans la pénombre ;
Elles sont tes lèvres en surnombre ;
Du bout des doigts, embrasse-moi,
Du bout des lèvres, parle-moi…
Et si ma bouche dans ta paume
Mérite un mot, mérite un psaume,
N’oublie jamais jusqu’à la fin,
Qu’elle ne vivait que pour tes mains…
14/10/00 14h46
dimanche 30 mars 2008
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