De mon esprit rubigineux
Suinte parfois un tendre aveu…
Comme un soupçon insaisissable,
Un souvenir ancien, coupable.
C’est chaud et froid,
Long et furtif…
Brutal, courtois,
Dur et lascif…
C’est l’angélus de ma prestance
Qui sonne faux en ton absence…
Matin, midi, soir et matin,
Echo maudit, écho sans fin…
Tu t’insinues, tu sous-entends
Tu m’empoisonnes, tu m’entreprends ;
Rêve narcotique, calmant !
Transe léthargique du temps.
Encore une heure,
Encore un jour,
Mon cœur se meurt
Sous ton amour.
14/10/00
dimanche 30 mars 2008
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