Je serai le chat noir qui hante ton jardin.
Ton jardin des supplices cachés,
Ton jardin suspendu au silence.
J’irai, stoïque, entre tes idoles de marbres aux yeux d’oubli…
Aux pieds d’une Aphrodite sans bras,
Aux bras d’une Victoire sans tête,
Je marquerai les limites de mon absence…
Pour que ses effluves amers achèvent de ronger tes certitudes glacées.
Et tu te souviendras de moi,
Quand les rides de ton sourire saigneront
Sans déraison apparente….
Qu’une voix étoilée éteindra tes espoirs
Et crucifiera tes désirs d’un mot.
Celui que tu m’as dit un soir,
Au jardin.
Ton jardin des supplices cachés,
Ton jardin suspendu au silence.
J’irai, stoïque, entre tes idoles de marbres aux yeux d’oubli…
Aux pieds d’une Aphrodite sans bras,
Aux bras d’une Victoire sans tête,
Je marquerai les limites de mon absence…
Pour que ses effluves amers achèvent de ronger tes certitudes glacées.
Et tu te souviendras de moi,
Quand les rides de ton sourire saigneront
Sans déraison apparente….
Qu’une voix étoilée éteindra tes espoirs
Et crucifiera tes désirs d’un mot.
Celui que tu m’as dit un soir,
Au jardin.
3 commentaires:
Ce que j'en pense ? Que vous faites admirablement couler le chaud et le froid ! J'aime beaucoup !
Merci à vous !
Au plaisir...
Salut Bloody
Je viens de découvrir ton blog, que j'ai parcouru avec le plaisir que tu peux deviner.
j'ai mis deux liens sur deux de mes blogs, dont je te donnerai l'adresse en mail privé si tu veux.
lucius@free.fr
bisous
Luc
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