Coquelicot de papier aux pétales frémissants,
Au soleil de l’été déploies tes ailes rouges ;
Gouttelettes de sang, pointillisme carmin…
Parsemant l’horizon, habillant toutes ces routes
Où je promène mes souvenirs
En laisse de nostalgie.
Pavlov et moi,
Main dans la main,
On se raconte nos regrets…
Car si les chiens savaient écrire,
J’aurais un collier étrangleur
Sous le sourire.
mercredi 20 février 2008
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