Tu m’aimes, dos au vent.
Il souffle,
Tu souffres.
Mais je ne suis qu’un courant d’air…
Les frôlements sur ton visage
Et cet air tiède sur ta peau,
Ce n’est pas moi,
Juste le vent.
Cet élan souple qui te soulève,
Et qui affole ton cœur béant,
Ce n’est pas moi,
Juste le vent.
Tous ces parfums qui t’envahisse
Toutes ces caresses, ces murmures,
Ce n’est pas moi,
Juste le vent.
Ces cris muets que tu me lances,
Ces désirs pourpres, ces tendresses,
Seront emportés,
Par le vent.
mercredi 20 février 2008
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