Vivante, j’invite ton vit à venir,
Piquer le pic de mes empires…
Là où les limbes logarithmiques
Se changent en satins sataniques…
Au fil fibreux de ton phallus
Aux portes de mon utérus,
Une éruption arachnéenne
Etends sa toile, trompe l’hymen…
La lance lisse lardée de lait
Toujours tendue, angle parfait ;
Cherchera chaque autre chemin
Visitant vallons et ravins…
Ma longue langue sans s’alanguir
Savourant le miel et la myrrhe
Ira lécher l’échine chaude
Rose ravisseur en maraude…
mardi 19 février 2008
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